.. Silence dans la salle ..

Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 22/06/2008

.. Noir, il faisait noir. La même odeur etouffante, la poussière picotant sa gorge comme des bouts de fer pointus. Il était peut-être tôt, peut-être tard, comment peut-on le savoir ? La pièce était plongée dans le noir, l'atmosphère était tellement lourde à supporter. Son visage semblait triste, son coeur déchiré par les mois, par les années, par le temps tout simplement. On a l'impression que la vie vous quitte, que vos forces vous délaisse pour aller autre part. Roulée en boule dans un coin de la pièce sur le sol même, ses mains devant son visage, ses doigts crispés sur la moquette. Dans la salle, le silence règnait en maître, seulement un petit bruit raisonnait et énervé quiconque l'entendait en boucle, ce " tic, tac " règulier de la pendule suspendu au mur. Yumio était à bout de nerfs, voilà des mois que ce bruit incessant lui taper sur le système. Finalement, elle se leva, sa démarche etant lourde et titubante, elle s'approcha dangereusement du mur, elle frappa dans le cadran où les aiguilles tournaient de la même manière depuis trop longtemps, à son goût du moins, un grand bruit raisonna dans la salle ..
.. Un liquide pourpre coula sur le sol, son poing saignait un peu, à peine. L'horloge tomba au sol dans un fracas inhabituel, Yû retourna à son coin du mur. De l'exterieur quand on était simplement dans la pièce principal du magasin, on pouvait voir une porte dans le fond, blindée et enchaînée, des toiles d'araignées dans les coins. Peu après le vacarne dans la pièce, des pas d'homme se firent entendre à l'exterieur de la salle, un humain approchait de la pièce, un fouet en main. L'Hybride ne bougea pas, sa queue de louve devant son visage, elle redressa sa tête, ne serait-ce qu'un peu. L'être humain entra en devérouillant la porte, enlevant les chaînes la retenant prisonnière. L'Humain, se croyant beaucoup plus fort, supèrieur à elle, la regarda de haut comme si elle n'était qu'un être insignifiant, Yû lui lanca un regard indifférent ..

"-.. Tu vas payer pour cette horloge, sale bête... .."

.. Lentement, il approcha, faisant claquer le fouet dans les airs, l'Ookami ne disait rien, regardant le petit manège de cet être aussi stupide qu'il en eut l'air. Quand le fouet frola son visage, elle sentit cette haine spéciale montait en elle tel un éclair sous ses yeux, mais pour le moment elle ne bougea pas, vêtue d'un simple vêtement ressemblant à une chemise ample et d'une couleur écarlate, déchirée par endroits, l'homme retira son jean, présentant alors à l'Hybride cet engin qui ne ressemblait à rien entre ses jambes. Yû regarda cette monstruosité avant d'y mettre un coup de griffe puissant, lui arrachant à moitié son intimité, l'homme poussa un hurlement d'agonie, féroce. Il abattit son fouet sur son dos, Yû manqua de hurler de douleur, une longue marque s'installant dans son dos avant de saigner, laissant la chemise encore plus rouge qu'elle ne l'était. Elle sauta à la gorge de l'humain, lui arrachant sauvagement le cou, la tête roula sur le sol, le corps s'affalant à même le sol ..
.. La louve ecrasa le corps de tout son poid, elle se redressa, marchant à quatre pattes, elle sortit de cette pièce, le corps meurtris derrière elle, le sang coulant encore sur le sol, elle regarda l'autre vendeur qui paniqua, tentant d'appeller la police ..

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[Je peux ?=D]

Des bruits, des sons, des cris d'agonie d'un homme stupide et un corps qui tombait au sol.C'était tout ce qu'elle avait entendu, mais cela avait suffit à Misato pour l'attirer ici.Elle se baladait, avec ses abrutis de gardes du corps, dont elle se serait volontier passée, dans les rues.Elle se sentait prisonnière de leur regard, craignant de faire un geste qu'il désapprouverait.Une seule phrase tournait dans sa tête : "Je me suis débarrassée de tout le conseil, maintenant, il ne reste plus que ces crétins...".Sans vraiment raisonner méchament, elle ne désirait qu'une chose, être libre...Elle s'avança donc vers l'animalerie.Ca tombait bien, elle devait acheter un néko.Elle sourit lorsque les gardes du corps se rendirent compte que le bruit venait de là.Ils lui déconseillèrent d'y entrer mais elle ne les écouta pas.Elle souriait...Encore un, se disait-elle, encore un qui se prend pour le maître du monde et qui sous estime les nékos.Cela la faisait rire.De quel droit les humains pensaient-ils qu'ils valaient mieux que les autres ?Que les nékos étaient leurs esclaves ?Oui, Misato était une humaine, qui plus est riche qui pouvait avoir tout ce qu'elle voulait.Mais jamais, oh grand jamais elle ne se serait permi de traiter un néko ainsi, pour elle il n'y avait pas de race inférieur.Elle était elle même tombée amoureuse d'un néko...Jusqu'à présent, tous ceux qui l'avaient accompagnés avait été heureux, ils avaient bien vécus.D'accord, ils avaient eu des corvées, mais jamais des choses durs ou fatiguantes à faire, non, Misato en aurait été incapable, incapable de les considèrer comme tel...

Elle entra, sous les yeux paniqués de ses hommes de mains.Le vendeur la reconnu de suite et s'inclina discrètement devant elle, le téléphone à la main.Au fond, la porte e fer était ouverte, avec une néko de l'âge de Misato qui en sortait, et dans l'ouverture de la porte, on pouvait y voir un corps d'homme.Elle sourit, et se plaisait à regarder l'animalerie, joyeuse, elle regarda la néko.Elle était couverte de sang.Elle regarda ensuite le vendeur.

"Raccrochez immédiatement ce téléphone."

D'un calme désarmant, elle lui ordonna de rennoncer, il avait peur.Mais peur de quoi ?De cette jeune néko qui semblait dangereuse, de désobéir à Mlle Kawase, celle qui lui fournissait indirectement sa paye tous les mois ou de ces 10 gorilles en smoking noirs qui n'attendaient bêtement les ordres d'une gamine de 17 ans ?C'en était trop, prit de panique, il lâcha le téléphone.Misato fit un grand sourire...Elle s'avança du vendeur, un peu tremblottant.

"Je refuse de vous laisser continuer à la maltraiter.Et je pense que vous n'y verrez aucun inconvénient si je l'emmène avec moi n'est-ce pas ?"

Misato sourit gentiment à la néko, elle avait attiré sa sympathie.Ce que cette néko avait vécu était très dur et ça n'allait sûrement pas suffir mais elle tendit la main à la néko, sans arrière pensées, juste pour essayer l'aider.Mais voudrait-elle de son aide ?Pas sûre...Elle essaya quand même.

"Viens, je t'assure que tu ne crains plus rien.Je vais te ramener au manoir pour te soigner et ensuite je te laisserai partir si tu le désire.Qu'en dis-tu ?"

Prise par la curiosité et l'intrigue que provoquait la néko, Misato la regarda de plus prêt, toujours aussi calme et posée, un sourire tendre et compréhensif aux lèvres.La néko pouvait très bien lui sauter à la gorge, mais Misato ne se serait pas défendue, elle n'aurait jamais voulu lever la main sur un néko et était répugnée par l'idée qu'un de ses nazes à son service ne touche à un seul cheveux de la néko.Elle n'espèrait rien, elle savait que la jeune néko ne la suivrait sûrement pas mais bizarrement elle continuait à avoir une lueur de doute sur ce sujet.

"Dis moi, quel est ton nom ?"

Ce n'était pas de la pitié, non, elle n'avait pitié de la néko.Ce n'était pas de la générosité non plus.C'était tout simplement du respect et une touche de tendresse pour une personne qui en manquait cruellement et injustement.Misato détestait ça, l'injustice et le manque d'affection.Mais elle savait que le monde n'était pas rose bonbon et que la vie n'était pas toujours belle, elle ne le savait que trop bien.

"Mr le vendeur, je trouve votre comportement envers cette personne inacceptable et ce que vous lui infligez est horrible alors j'en parlerai à votre supérieur.Je vous préviens ça se passera pas comme ça !!"

Elle avait parlé calmement, sauf pour la dernière phrase où elle lui avait crié dans les oreilles.Elle voulait faire payer au vendeur, payer pour tout ce qu'il s'était passé...Mais le pouvait-elle vraiment ?

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.. Yumio pouvait trancher la question, elle savait exactement le pourquoi de la question. Son regard tomba sur ce vendeur. Pour son physique, il était assez petit mais son ventre retombait lourdement sur ses cuisses comme pour supporter ce poid monstrueux. Tout de blanc vêtu, on pouvait même apercevoir sous ses dessous de bras, des auréoles qui ne sentaient certainement pas la rose. Yû en était ecoeurée, il avait tout d'un vieux chomeur à la rue. La braguette de l'homme était ouverte, laissant apercevoir son sous-vêtement d'une indignation totale. Yumio passa sa main sur sa propre cuisse, derrière celle-ci demeurait un poignard dont elle avait l'habitude de s'entraîner avec. Son sourir fut grand, elle s'approcha du vendeur avec une demarche digne des grands mannequins ..
.. Mais son regard n'était pas séducteur, bien loin de là. Elle attrapa le manche du poignard et l'extirpa de son fourreau, tranchant la gorge de l'homme qui, sous la surprise et l'etonnement se mit à crier avant de voir sa tête roulait sur le sol, le sang degoulinant sur son t-shirt tâchée puis le corps s'affala à terre de tout son long, laissant alors tout cette masse grasse baignait dans son propre sang. Puis, avec un sourir bien plus que sadique, Yumio s'accroupit près de lui, regardant son cou dépourvu de tête, d'ailleurs le visage du vendeur avait été glacé dans la surprise, ses yeux exorbités faisaient pensé à deux balles de tennis de table, puis Yû toucha la colonne vértébrale qu'on put voir, tranchées en deux, le reste dans le crâne de l'autre homme ..

"-.. Ahaha, içi nous pouvons apercevoir la colonne vertebrale, n'est-ce pas les enfants ?.."

.. Les autres neko se mirent à hurler de peur et d'angoisse alors que Yû passa la lame de son poignard tout le long de son dos, retirant la colonne dans un craquement d'os et un jet de sang, d'ailleurs ce liquide pourpre alla se loger sur les barreaux des cages ou bien sur les vêtements des autres neko. Puis elle se releva, lâchant son trophée qui tomba au sol avec un petit claquement. Yumio se retourna pour faire face à l'humaine qui devait être, sûrement, effrayée, mais peut-être n'avait-elle aucune peur maniaque de celà, enfin, en attendant, les neko n'arrêtaient pas de gémir dans leurs cages, Yû se retourna, donnant un coup de griffe dans les cages, exaspérée de leurs cris de peur, elle s'ennuyait d'eux, ils n'étaient pas interessant, tuer ou pas ce serait pareil, ils n'en valent pas la peine ..

"-.. Ooh la ferme !.."

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Misato n'était pas effrayée, au contraire, elle trouvait ça drôle et ne se lassait pas de se spectacle très interressant.Bon, elle n'était pas morbide ni même sado-maso mais cela l'amusait...Etrange pour une fille sainte et gentille non ?Quoi qu'il en soit, ses hommes de mains, eux était terrifiés, ils en tremblaient et se serait même fait dessus s'ils n'étaient pas avec Mlle Kawase.Lorsqu'elle montra la colonne vertébrale, Misato compris qu'elle avait un côté sombre assez développé, pas de façon directe mais cela ne la dérangeait pas d'être témoin d'horreur et de crime.Hasard ?Non, cela faisait parti de sa personnalité, autant elle pouvait être gentille, sage et timide autant elle pouvait être brutale et méchante.Elle ignorait cela jusqu'à maintenant mais elle venait de s'en rendre compte.Bon, heureusement cela ne suffisait pas pour qu'elle ne tue ou fasse de mal à qui que se soit, elle restait quand même quelqu'un d'appréciable.La néko venait de demander le silence.Mais Misato n'était pas décidée à se taire, elle en avait long à dire.Cette audace et cette autorité l'interressait, oui, Yumio était quelqu'un de très spéciale et de très interressant !Misato n'avait pas peur, elle sentait que le coeur de cette fille avait noirci par solitude et malheur.Sans une once de frayeur, Misato s'approcha.Peut être était-ce un acte insousciant comme tout ce qu'elle entreprend mais elle s'approcha.Stupide ?Sûrement.Inconsciente ?Oui, certes.Etrange ?Certainement.Incroyablement curieuse ?Ca c'est sûre.

Ne pas réfléchir ?Ce n'était pas dans les habitudes de Misato et elle avait réfléchi avant.Mais si elle devait mourir maintenant elle n'aurait qu'à être tuée par la néko.Ce serait la vie et puis tant pis, plutôt mourir que de continuer sa vie malheureuse.Mais son instinct lui dictait des ordres très strictes : va voir cette néko, ce n'est pas une simple néko.Et comme une gamine qui croit ce qu'on lui dit, elle le fit.Elle arriva à quelque centimètre de la néko.Aurait-elle dû être terrorisée ?Ce n'était pas le cas, un zeste d'appréhension se cachait en elle mais elle était surtout dévorée par l'intrigue et la sympathie.Cette néko, devant elle, ne se laissait pas faire et exprimait ce qu'elle voulait exprimer.Misato, pleine de bonne volonté essaya une denrière fois de lui adresser la parole.

"Dis moi, ça t'fais quoi quand tu tue ?Je me le suis toujours demandé.Ca te fais sentir que t'existes ?"

Sans prétention et avec beaucoup d'interrogation, elle avait pronnoncé ces paroles.Elle n'attendait rien, n'espèrait rien et ne voulait rien.Elle venait juste de trouver une néko qui avait beaucoup de courage tel les nékos rebelles et lui demandait juste plus amples informations sur elle.Vain ?Peut être mais cela l'interressait...
Aparemment, tuer les autres nékos ne lui servirait à rien ça se voyait, elle s'en fichait.Misato souriait d'un sourire espiègle sans méchanceté et sans aspect sadique mais avec beaucoup d'amusement.Elle se faisait peur à elle même, elle avait toujours toujours toujours été quelqu'un de "bien" enfin quelqu'un que les autres appréciaient pour sa patience et sa générosité pourtant elle semblait si sombre à et instant...

*C'est étrange, je ne...me ressemble pas...*

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"-.. Insignifiante petite humaine, viens que je t'ecorche et donne ta chaire à mon estomac .."

.. La jeune femme avait dis celà sur un ton des plus froid qui puisse existé, elle n'était pas très gentille, ni social d'ailleurs. Puis, pendant qu'elle regardait autour d'elle, un bruit venant de son ventre manqua de la faire trésaillir, elle se retînt de justesse en posant un pied en avant, son regard se troublant un peu, elle regarda la chaire attendrissante du vendeur, s'approchant de lui avec vigueur, ce même pas digne des mannequins, elle s'asseya tel une gamine et attrapa son poignard, decoupant la peau, elle devora l'intèrieur sous les yeux écarquillés des neko dans leurs cages. Beaucoup se mirent à pleurer, d'ailleurs, les deux gardes du corps s'enlacèrent tel deux frères éffrayés. Yû n'était pas une hybride comme les autres, et elle comptait se faire reconnaître dans le pays par ses crimes ou simplement ses actes. La neko ne laissa que de chaire pendante sur les os depourvut de sa peau, souriant sadiquement, elle se lecha les doigts plein de sang puis alla à l'arrière boutique ..
.. Là il y avait une sorte de douche commune serviable pour les vendeurs qui passaient leur journée içi, elle retira sa chemise tâchée de sang et passa sous l'eau. Sa peau luisait grâce au liquide transparent coulant sur son corps de glace, elle était toujours froide, autant physiquement que psychologiquement. Yû se nettoya correctement, celà faisait vraiment du bien, elle piqua même du savon qui sentait la rose, après quoi elle prit une chemise qu'ils avaient en rechange, heureusement pour elle, elle était propre mais le tissu colla à son corps, moulant ses formes, elle n'aimait pas trop celà, sa la dérangée. Peu importe, Yû ressortit dans la rue et commenca à marcher, regardant les passants qui se demandée qu'est-ce qu'elle faisait seule. Yumio continuait sa démarche, finalement elle attendit Misato ..

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La néko partit prendre une douche.Normal, avec tout le sang stocké sur elle ça aurait été bizarre dans la rue...Quoi qu'il en soit, elle sortit.Cela n'étonna pas vraiment Misato, elle en était persuadée mais une chose bizarre arriva.Lorsqu'elle sortit dans la rue, les passants la dévisageaient, elle était seule : c'était pour ça.Dans des lieux si commun, aucun néko seul n'osait s'aventurer, au très rarement ou même seulement s'ils sont connus dans le quartier et qu'ils font des courses pour leur maître.Misato laissa échapper un petit rire étouffé et sortit, suivit par ses abrutis en costume noir.

Une fois dans la rue, elle aparçu la néko qui semblait attendre quelque chose, le regard des humains la dérangeait, pas parce qu'ils pouvaient penser d'elle, mais parce qu'ils pourraient la dénnoncer et la renvoyer dans une animalerie.Elle n'était pas en sécurité ici, et Misato le savait très bien, c'est pourquoi son âme "gentille" s'approcha de la néko.Douée pour la comédie ?Ah, ça oui, pour simuler ou faire croire n'importe quoi, elle était très forte.Son jeu était presque digne d'un oscar.D'un autre côté, elle n'avait pas droit à l'erreur, elle se devait d'être convaincante sinon, ça risquait d'aller à l'encontre de sa crédibilité auprès des autres sociétés.Elle saisit la néko par le bras, qui sembla un peu surprise au début et même en colère mais Misato était sa "porte" de sortit, toutes deux en étaient consciente.Et c'est ainsi que Misato commença sa "pièce théâtrale".

"Mais voyons, pourquoi es-tu partit si vite ?!Tu m'as fais une telle frayeur !Enfin bon, retrons à la maison, on a prit beaucoup de retard..."

Convaincante ?Aparemment assez pour les villageois qui se trouvaient ici.Les lèvres de Misato était proche de l'oreille de la néko, cela lui permit de lui murmurer quelques mots, un sourire au coin de la bouche.

"Je suis ticket gagnant n'est-ce pas...?Alors je te le edit une dernière fois, laisse moi t'aider.Je te sors du quartier commercial et je te conduit dans les quartiers rebelles ou n'importe où où tu voudras aller.Ca marche ?"

Le "ça marche" était peut être en trop.En réalité, elle n'avait pas vraiment le choix, une néko seule ?Dont persone ne connaissait l'origine qui sortait d'une animalerie ?Ca aurait été trop suspect.Mais maintenant, les choses avaient changés, le "jeu" n'était que sur le point de commencer : rassurez les gens était une chose, mais faire sortir la néko du quartier commercial en était une autre et les contrôleurs étaient les seuls sur lequel Misato n'avait aucun pouvoir, se serait donc la chance ou la poisse, cela ne dépendait que de l'attitude de la néko.